L’Algérie reste pour certains une obsession. Un point focal. Son passé et son indépendance ne passent pas, ne sortent pas des gorges, de ces obsédés, soumis à leur peur au ventre. Son présent dérange et intrigue par ce qu’il dit voilà un pays qui n’a pas succombé à une décennie noire de terrorisme construit par un binôme de déstabilisateurs professionnels, intérieurs et extérieurs.